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FREDE POC /Vertigo / Installation

La "frede poc family" est aussi bien une marque de création textile, vêtements et sacs, qu' un univers d'expression plastique : installation, peinture, photo.
L' utilisation de la couleur est intense, le lien avec le tissu est également prédominant, pour ses qualités tactiles, pour la richesse des motifs et son rapport à l'enveloppement.
La "frede poc family" joue avec les influences rétro, années 50 à 70, aussi bien pour les formes que les imprimés. Il y a aussi un rapport au voyage, à travers l' utilisation de tissus du monde: indiens, africains, bahianais...


La "frede poc family" met du pop kitch nu retro style dans votre vie!

Dans l'installation "Vertigo", toutes ces influences seront réunies dans la cour du 34 rue Saint Guilhem à Montpellier.
Les écrits de Gilles Deleuze et Félix Guattari, dans le livre "Mille plateaux", ouvrent une réflexion la perception et l'espace "haptique" et "optique", trame de l'événement organisé par le Collectif.
L'installation "Vertigo", propose un regard sur le lisse et le strié. Des rideaux de fils, installés entre l'entrée et la cour, brouillent la vision globale... cet espace traversé, dévoile une installation autour de l'olivier de la cour intérieure. Les tissus, habillent l' arbre, volent au vent, servent de support à l' écrit ou de base pour s' y étaler en personne.
Une invitation au voyage, le temps d'une pause, un esprit nomade dans un espace fixe...

COMPAGNIE PULS' ART / D.Faire / Danse

Au-delà d’une compagnie, Puls’art est un collectif d’artistes crée en 2001. C’est dans son éclectisme que le collectif Puls’art puise sa richesse. Des plasticiens, photographes, vidéastes, musiciens, costumiers… et des danseurs chorégraphes pluridisciplinaires (danse afro-jazz, contemporaine, modern-jazz, néo-classique…) collaborent et multiplient les expériences pour nourrir sans cesse leurs créations

D.faire l’espace, le tendre, le déplier, le superposer.

 

Des danseuses sont liées aux vieux murs par des excroissances de fil. Lentement, l’espace prend corps. Accompagnées par les notes d’un piano habillé, le mouvement se libère et se faufile entre les spectateurs. Tout est prétexte à tisser l’espace, à coudre les corps au décors. Cheminement chorégraphique : point droit, point zig-zag ; la mélodie s’arrête, le rythme vient ponctuer la descente des marches jusqu’au point de chute. Début d’une mise en abîme où, dans un lieu découpé, les danseuses se superposent à travers des images emmêlées, dedans-dehors, en transparence, ici et là...

Création compagnie Puls’Art
Danseuses : Macha Mélanie, Capucine Lhubac
Costumes, scénographie : Polune
Images : Céline Parenty, Macha Mélanie

©frede poc family

© compagnie Puls'Art

KEMET / Musique mixte

Kemet est une pièce mixte pour clarinette et sons fixés dans laquelle le clarinettiste conserve la priorité d'interprétation en lançant des séquences électroacoustiques synchronisées à son jeu. Il y a dans Kemet, des sources d'inspiration diverses : certaines musiques des années 70, le poème persan de Farid Al-Din Attar « la conférence des oiseaux », les rythmes de l'Inde du nord, la musique spectrale et différents travaux sur la synthèse sonore. Mais Kemet est avant toute chose un voyage à l'intérieur du son de la clarinette à travers une succession de séquences non-calibrées passant du flux à des points d'arrêt sur le son où des objets semblant statiques s'animent soudainement puis disparaissent pour revenir plus tard métamorphosés.


Kemet : la terre noire des anciens égyptiens, fait ici référence à la couleur de la clarinette et à sa fertilité sonore.


Composition et direction du son : Nicolas Wöhrel
Clarinette Bb : Jean-Marc Houdard

 

JEFF MARTIN / Improvisation / Musique

Virtuose du piano, très actif dans les concerts de musique Jazz, Classique, il est également depuis 2009 très impliqué dans toutes sortes de causes telles que la Ligue contre le cancer, et interprète des récitals de Musique Classique et/ou Jazz en Piano Solo qui enthousiasment à chaque fois le public.

Un musicien passionné de l'instant présent et du live.

Depuis 2009 il a une activité de concertiste virtuose et est également présent sur internet comme professeur de piano classique et jazz sur « Imusic-school ».

Dans un hôtel particulier, un  piano habillé d’un simple voile trône au centre d’une salle baroque. Cette sculpture décharnée, va prendre vie… le pianiste se met à jouer.
Jeff Martin, se laissera guider par son instinct nomade à  travers les méandres des rhizomes du lisse et du strié. Il voyagera entre organisation de lignes mélodiques horizontales et de plans harmoniques verticaux où la pulsation sera l’unité du plus petit commun multiple et variation continue de la forme, fusion de l’harmonie et de la mélodie. Pur tracé d’une diagonale à travers la verticale et  l’horizontale, Il n’y aura alors plus de mesure ou de rythme repérable, mais écoulement continu dans le temps d'une masse sonore en évolution, temps suspendu donnant un sentiment d'éternité.
Dans ce va et vient permanent, il comptera pour occuper l’espace temps et occupera l’espace temps sans compter.

COMPAGNIE LE SOLARIUM / Beach Noise / Vidéo

© jeff martin

Designer de mode diplomée de l’école Duperré, Faye Formisano travaille en tant que que designer et illustratrice textile dans le secteur de la mode depuis 7 ans. En 2010 elle crée avec Elsa Caux le studio de création graphique Nanük Design. En parallèle de sa carrière de designer elle développe une recherche de plasticienne/chorégraphe qui déplace la création textile dans le champs de l’art contemporain et des arts vivant destinée aux galeries, à la scène ou encore à l’espace public.

 

L’idée originale vient du concept de «vêtement à danser» c’est à dire créer des pièces où la dimension textile n’est pas un décor mais engendre grâce aux structures inventées de la chorégraphie.


Jeune compagnie émergente Beach noise est la première création de la Cie Le Solarium. A travers ses créations la compagnie confronte physiquement le design textile à d’autres disciplines : la danse, le texte, la manipulation d’objets. Pour chaque création est pensé une structure textile spécifique qui va insuffler la chorégraphie.

D’un point de vue strictement chorégraphique cette démarche est proche du contact-improvisation avec les objets textiles.
Le travail se situant dans le dialogue entre le tissu et les corps, une grande attention est accordée aux matières utilisées, au poids, à la résistance qui se répercute infailliblement sur les textures corporelles.
L’enjeu formel mis à part une grande importance est donnée à l’origine des textiles où aux vêtements utilisés comme principe de réflexion sur l’auréole d’imaginaire qui entoure un vêtement, où sur ce qu’évoque une matière.
Mettant en oeuvre les différentes pratiques liées au travail du textile, la surface devient alors un support d’émotions ou encore la trace d’un effet secondaire.

 

Beach Noise, Portrait textile chorégraphique
Une proposition filmique et chorégraphique de Faye Formisano
avec Lilou Robert, Aurore Schatzman, Anne-Laure Gueudret
Image : Jean-Christophe Meunier
Musique : Asil, Issam Krimi, Pierre Luzy

© compagnie le solarium

En plus de cette programmation "officielle" d'autres artistes viendront vous surprendre et vous émerveiller tout au long de cette journée.

Quatre faces comme quatre états de la matière : lisse, striée, tramée, en relief, plus deux faces invisibles, c'est un parallélépipède blanc qui réagit à la présence des visiteurs. Le son provient de l'objet mais se diffuse aussi dans l'espace. Les mouvements des visiteurs sont captés et entrainent des modifications de la matière sonore et de la lumière. Mettant en œuvre des matériaux et artefacts recyclés ainsi qu'une programmation collaborative « Almost Big White Solid » se veut comme un hommage à Gilbert Simondon et à l'éthique de l'objet technique.


CONCEPTION , RÉALISATION :
Benjamin Bru, Patrick Buyck, Marie-Bernard Chemla, Cyril Cournet, Stéphane Issaadi,
Bernard Molinié : élèves de la classe d'Électroacoustique du CRD de l'Aveyron sous la direction de Nicolas Wöhrel.

ALMOST BIG WHITE SOLID / Installation sonore interactive

DIDIER COT - BRUNO NAVARRA / Le bruit des atomes / Photographie Scientifique

Didier Cot et Bruno Navarra vous proposent de découvrir le tissu, sa matière, en pénétrant dans l’univers de l’infiniment petit.

Une série de macro photos artistiques grand format, accompagnées de  leur signature sonore et de textes conçus par Fabien Sandra comme des extraits de romans imaginaires, vous feront découvrir le monde du tissu comme vous ne l’avez jamais vu.


L’exposition   « Le Bruit des atomes » est née à l’Institut Européen des Membranes de Montpellier. Elle est une approche singulière de la science et tout particulièrement d’une technique d’observation qui permet à la fois d’observer et d’analyser des matériaux invisibles à nos yeux. Il s’agit de la microscopie électronique à balayage.


L’originalité de cette exposition est d’imaginer le « bruit des atomes » par la transformation en son de résultats d’analyses.

Réalisation et conception : Didier COT et Bruno NAVARRA

Photographies : Didier COT
Multimédia : Bruno NAVARRA

Musique ; Push Push

Textes : Fabien SANDRA

© Didier Cot

© Joseph Houdard

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